Freebe

Jeune freelance ou bien aguerri, tu te retrouves souvent dans le flou lorsqu’il s’agit de mettre par écrit les termes de ta relation contractuelle avec un client ? Cet article a pour ambition de t’aider à t’y retrouver en te donnant un aperçu de ce en quoi cela consiste.

En 2019, ce sont 386 000 micro-entreprises qui ont vu le jour, tandis que le nombre d’indépendants et de freelances n’a jamais été aussi élevé.

Avant de décrocher notre premier contrat freelance, on se pose généralement une multitude de questions. Comment ça va se passer, concrètement ? Bien qu’aucune mission freelance ne se ressemble..

Le bon réflexe d’un micro-entrepreneur débutant ? S’équiper dès le départ des bons outils. Ils te permettront de gagner du temps, d’être plus serein, et de pouvoir te consacrer pleinement à ton cœur de métier.

Ça y est, tu as décroché ta première mission freelance ? Félicitations ! Une fois que tu as réalisé la prestation demandée, tu vas devoir envoyer une facture à ton client. Pas de panique : Freebe te guide pas à pas.

Connais-tu la différence entre les différents types de factures ? Si la facture de vente paraît simple, les autres en général sont un peu plus obscures. On décrypte tout ça pour toi !

Il n’existe pas qu’une seule définition de la micro-entreprise. En fonction de la nature de ton activité, les règles juridiques et fiscales applicables diffèrent légèrement. On distingue ainsi selon que ton activité est commerciale, libérale ou artisanale.

Ça y est, tu as validé ton idée d’entreprendre ? Tu peux maintenant passer à la réalisation concrète de ton projet ! Le premier réflexe à avoir est de te déclarer auprès de l’État pour développer ton activité en toute légalité.

La micro-entreprise est un régime social et fiscal ultra favorable pour les jeunes entrepreneurs et freelances. On comprend aisément son succès ! Cependant, puisque toutes les bonnes choses ont une fin, elle est conditionnée par des plafonds de chiffre d’affaires.

Gérer son temps en freelance est essentiel. Contrôler le temps passé sur tes missions, c'est avoir la main sur ta rentabilité, une notion fondamentale si tu veux pérenniser ton entreprise. On te donne aujourd'hui des conseils pour surveiller ton temps !

La déclaration de chiffre d’affaires auprès de l’URSSAF constitue ton obligation principale en tant que micro-entrepreneur. Tous les mois ou tous les trimestres, tu déclares ton chiffre d’affaires encaissé au cours de la période, et paies tes cotisations sociales.

Les cotisations sociales représentent, avec l’impôt sur le revenu, l’essentiel de l’imposition du micro-entrepreneur. Payées tous les mois ou trimestres à l’URSSAF, elles servent à financer ta protection sociale.

La CFE est un impôt bien mal compris des auto-entrepreneurs, souvent peu informés sur le sujet. Cet impôt local doit être payé en fin d’année par la quasi-totalité des entreprises françaises. Difficile alors d’y échapper, même en micro-entreprise !

Le versement libératoire de l’impôt sur le revenu est l’une des spécificités de la micro-entreprise. Pensé pour te simplifier la vie et réduire la charge administrative pesant sur tes épaules d’entrepreneur, il te permet de payer ton impôt sur le revenu en même temps que tes cotisations sociales.